Une planification stratégique qui va bon train
Vous savez, j’aime bien l’exercice de planification stratégique. Dans le brouhaha des tâches quotidiennes, nous avons peu de temps pour nous arrêter et regarder le chemin parcouru et la direction que nous voulons prendre. C’est précisément ce que l’élaboration d’une planification stratégique permet de réaliser. Elle nous aide aussi à nous rapprocher des besoins de notre réseau et de leurs idéaux de croissance. Ce faisant, nous sommes capables de mettre en commun non seulement nos moyens de développement, mais surtout nos aspirations.
La dernière planification stratégique insistait sur l’importance d’aider les groupements forestiers à prendre leur place sur l’échiquier provincial. L’implantation de la reconnaissance du modèle d’affaires et le changement de nom de l’association sont quelques exemples des actions qui en ont découlé. Cette planification demandait aussi d’accélérer le développement de nouveaux services pour aider les membres à accélérer leur développement. Notons, par exemple, l’aide aux fusions et l’étude sur le modèle optimal. Dans la même veine, nous avons mis énormément d’efforts à reconfigurer le service de développement informatique et le service de première ligne. Dans ce cas, il avait été demandé de faire appel à des sources subventionnaires pour assurer le développement technologique. Ce qui fut fait avec un succès quasi inespéré́.
<strong>Une nouvelle planification stratégique</strong>
Groupements forestiers Québec et ses membres sont sans conteste dans une période de forte croissance. Nous menons de front plus de 15 projets et partenariats d’envergure. À eux seuls, les groupements forestiers se sont investis dans la mobilisation des bois et le développement de services ce qui fait qu’aujourd’hui le programme de mise en valeur sert de levier pour la création de six fois plus d’activités directes dans nos organisations. C’est 200 M$ de chiffre d’affaires qui sont générés par les producteurs regroupés et qui sont redistribués dans les communautés forestières.
Le défi de la prochaine planification stratégique est de maintenir, voire accélérer ce développement. Le comité de travail a un mandat complexe, mais fort motivant. Groupement forestier Québec n’est pas une fin en soi, les propriétaires regroupés oui! C’est pour eux que nous devons travailler. L’organisation provinciale est un moyen pour y arriver et nous devons nous assurer qu’elle joue ce rôle.
Depuis quelques années, nous avons procédé à quelques ajustements pour nous adapter à une nouvelle réalité, à savoir un modèle où la croissance des groupements forestiers prend plus de place. Entre autres ajustements, notons des contrats de chargé de projet octroyés aux groupements forestiers, l’élargissement de notre réseau de partenaires professionnels et l’utilisation plus importante de l’expertise des groupements forestiers.
<strong>Mais quoi encore? Que ferons-nous dans les prochaines années?</strong>
Ce sont là les grandes questions auxquelles il faut répondre. Les occasions de développement pour les groupements forestiers sont illimitées. Les efforts des dernières années, à commencer par l’implantation du modèle d’affaires des groupements forestiers portent leurs fruits. Les propriétaires regroupés sont plus que jamais une force stable, dynamique et fiable dans la mise en valeur de la forêt privée, du développement régional et de l’innovation organisationnelle.
La planification stratégique demandera encore quelque temps, mais des orientations claires se dessinent comme la représentation politique, le développement technologique ou l’accompagnement stratégique. Mais encore là, comment voyons-nous nos organisations dans l’avenir et quel rôle jouera Groupements forestiers Québec dans cette vision?
Nous avons eu une première idée avec la dernière tournée régionale. Mais pour aller plus loin, la tâche est beaucoup trop lourde et trop importante pour s’en remettre à un seul comité. C’est pourquoi, dans les prochaines semaines, les groupements forestiers seront invités à se prononcer, par sondage et par rencontre régionale, sur leurs aspirations et sur les outils dont ils ont besoin pour les atteindre. Ce sera aussi l’occasion de redéfinir le rôle de votre organisation provinciale dans cette nouvelle réalité. Plusieurs équipes planchent sur ces enjeux, mais c’est à vous de dicter le chemin à prendre.
Les prochaines semaines seront déterminantes car elles permettront de forger l’avenir non seulement des groupements forestiers, mais aussi celle de la forêt privée.
La dernière planification stratégique insistait sur l’importance d’aider les groupements forestiers à prendre leur place sur l’échiquier provincial. L’implantation de la reconnaissance du modèle d’affaires et le changement de nom de l’association sont quelques exemples des actions qui en ont découlé. Cette planification demandait aussi d’accélérer le développement de nouveaux services pour aider les membres à accélérer leur développement. Notons, par exemple, l’aide aux fusions et l’étude sur le modèle optimal. Dans la même veine, nous avons mis énormément d’efforts à reconfigurer le service de développement informatique et le service de première ligne. Dans ce cas, il avait été demandé de faire appel à des sources subventionnaires pour assurer le développement technologique. Ce qui fut fait avec un succès quasi inespéré́.
<strong>Une nouvelle planification stratégique</strong>
Groupements forestiers Québec et ses membres sont sans conteste dans une période de forte croissance. Nous menons de front plus de 15 projets et partenariats d’envergure. À eux seuls, les groupements forestiers se sont investis dans la mobilisation des bois et le développement de services ce qui fait qu’aujourd’hui le programme de mise en valeur sert de levier pour la création de six fois plus d’activités directes dans nos organisations. C’est 200 M$ de chiffre d’affaires qui sont générés par les producteurs regroupés et qui sont redistribués dans les communautés forestières.
Le défi de la prochaine planification stratégique est de maintenir, voire accélérer ce développement. Le comité de travail a un mandat complexe, mais fort motivant. Groupement forestier Québec n’est pas une fin en soi, les propriétaires regroupés oui! C’est pour eux que nous devons travailler. L’organisation provinciale est un moyen pour y arriver et nous devons nous assurer qu’elle joue ce rôle.
Depuis quelques années, nous avons procédé à quelques ajustements pour nous adapter à une nouvelle réalité, à savoir un modèle où la croissance des groupements forestiers prend plus de place. Entre autres ajustements, notons des contrats de chargé de projet octroyés aux groupements forestiers, l’élargissement de notre réseau de partenaires professionnels et l’utilisation plus importante de l’expertise des groupements forestiers.
<strong>Mais quoi encore? Que ferons-nous dans les prochaines années?</strong>
Ce sont là les grandes questions auxquelles il faut répondre. Les occasions de développement pour les groupements forestiers sont illimitées. Les efforts des dernières années, à commencer par l’implantation du modèle d’affaires des groupements forestiers portent leurs fruits. Les propriétaires regroupés sont plus que jamais une force stable, dynamique et fiable dans la mise en valeur de la forêt privée, du développement régional et de l’innovation organisationnelle.
La planification stratégique demandera encore quelque temps, mais des orientations claires se dessinent comme la représentation politique, le développement technologique ou l’accompagnement stratégique. Mais encore là, comment voyons-nous nos organisations dans l’avenir et quel rôle jouera Groupements forestiers Québec dans cette vision?
Nous avons eu une première idée avec la dernière tournée régionale. Mais pour aller plus loin, la tâche est beaucoup trop lourde et trop importante pour s’en remettre à un seul comité. C’est pourquoi, dans les prochaines semaines, les groupements forestiers seront invités à se prononcer, par sondage et par rencontre régionale, sur leurs aspirations et sur les outils dont ils ont besoin pour les atteindre. Ce sera aussi l’occasion de redéfinir le rôle de votre organisation provinciale dans cette nouvelle réalité. Plusieurs équipes planchent sur ces enjeux, mais c’est à vous de dicter le chemin à prendre.
Les prochaines semaines seront déterminantes car elles permettront de forger l’avenir non seulement des groupements forestiers, mais aussi celle de la forêt privée.
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